comment dire oui a change ma vie

Lerèglement européen sur les successions internationales, entré en vigueur le 16 août 2012, s’appliquera aux successions ouvertes à compter du 17 août 2015.Il s’appliquera à toutes les successions comportant un élément d’extranéité (lieu de résidence dans un pays distinct de la nationalité du défunt, biens immobiliers situés à l’étranger, etc.). Régulièrementun homme dit à une femme qu’il l’aime dans le feu de l’action, c Juin 2022 va changer la vie de trois signes du zodiaque : ils n’ont jamais connu une telle chance . Ces 4 signes du zodiaque ne sont pas destinés à devenir riches malgré leurs efforts. 3 signes du zodiaque vont vivre de grands changements dans les 3 jours à venir. Le meilleur est à venir Verrouillerune session utilisateur sur Windows 11. Il existe deux façons de verrouiller votre session utilisateur sur Windows 11. La première est manuelle ; la seconde nécessite un petit Commentdire oui a changé ma vie ! - Livre - Mère de trois enfants, comptant parmi les personnalités les plus puissantes de la télé américaine (elle est la créatrice des séries Grey's Anatomy et Scandal), mais dotée d'un tempérament introverti, Shonda Rhimes est bombardée d'invitations et de sollicitations, et les refuser a longtemps été sa plus grande spécialité - quand Laissezl'amour entrer dans votre coeur et changer votre vie, car il y a dans ce monde plein de gens bons et affectueux disposés à vous rendre heureux! La Mente es Maravillosa Bien-être nonton film the call of the wild. Aujourd’hui j’ai eu envie de vous partager des petits bouts de moi … Des bribes de vie … Un patchwork d’anecdotes. Tout simplement parce que vous me connaissez pour mon amour de la course à pied et mes goûts / réalisations culinaires [étranges] quotidiennes mais moins le “vrai moi”, vous savez, celui de la vie de tous les jours ! Alors j’ai décidé de me dévoiler un peu avec des anecdotes drôles parfois – parfois non. Mais sans tabou. 1- Je suis une angoissée et une prévoyante pathologique et une hyper active chronique. Je suis stressée, anxieuse, je manque de confiance en moi et oui. Mais je travaille là dessus chaque jour ! D’ailleurs j’ai essayé de me mettre une dizaine de fois au Yoga [cette fois c’est la bonne !] puis à la méditation. J’ai aussi testé les coloriages anti stress, les fleurs de bach et l’homéopathie. Bref, je ne désespère pas d’entre un jour une personne calme et posée. 2- J’ai rencontré chéri pendant nos années lycée mais sur un court de tennis ! 8 ans déjà depuis notre premier flirt et des hauts et des bas plus tard, nous nous marions finalement dans un an euh 10 mois en fait maintenant ! en Corse. Le temps file ! Cela peut paraître un peu niais de dire cela mais j’aime à penser que ce sera mon seul amour, vous savez le prince charmant toussa toussa. En vrai, il n’a rien du prince charmant que j’imaginais enfant et du coup je crois que ça lui donne encore plus de charme ! Enfin, disons que je suis fière de me dire que je vais dire oui au seul homme de ma vie – fleur bleue moi ? 3- Je déteste pas mal de choses dans la vie Les pieds, les pigeons et les pédiluves notamment. Tout cela me dégoûte en fait. Et puis, il y a les gens fermés d’esprit, les donneurs de leçon, les égoïstes, les intolérants. Ceux qui crachent par terre ou qui tiennent une conversation dans les transports en commun comme s’il étaient dans leur salon. [Oui je suis un peu énervée contre le monde entier, du coup.] 4- Je suis totalement hypocondriaque. et encore, je me soigne. Le fait de perdre sa mère à l’âge de 30 ans n’aide pas je crois. Du coup plus j’approche la trentaine plus j’ai peur cool non ?. Mais j’apprends de plus en plus à vivre ma vie pleinement, chaque seconde, chaque petit bonheur ! 5- Mon rééquilibrage alimentaire a changé ma vie. En effet c’est grâce à cela que j’ai appris à cuisiner, que je me suis mise à la course à pied, bref j’ai radicalement changé ! Le moi d’avant n’avait pas confiance, ne faisait pas de sport, ne connaissais pas le quinoa, les fèves et la patate douce et encore je ne vous parle pas de la purée d’amandes ! – Mais ça, c’était avant ! 6- Je suis une fana des petites attentions. Ma grand mère m’a toujours dit depuis toute petite “Les petites attentions font les grandes relations”. Je pense que c’est vrai, réellement. Du coup j’essaye d’avoir toujours un petit mot, un petit gâteau, une fleur ou juste un sourire ou un sms pour mon amoureux, parce que notre histoire est réellement ce que j’ai de plus précieux au monde, je m’en rends un peu plus compte chaque jour. 7- Mon plus grand rêve et ma plus grande angoisse aussi est de devenir mère. J’avoue que cela réveille en moi des choses enfouies bien trop profond et que parfois cela me fait peur. Mais j’ai énormément envie de vivre cette immense bonheur et de le partager avec l’homme que j’aime. Immensément envie de créer notre petite famille. 8- J’écris depuis très jeune. J’ai toujours écrit en fait je crois. A l’âge où certains écrivent un journal intime, moi j’écrivais de la poésie en Alexandrins. Et cela n’a jamais cessé. Cela a toujours été au fond de moi. Une sorte de thérapie, peut-être en tous cas un exutoire et la meilleure façon que j’ai trouvé de m’exprimer je ne suis pas une grande oratrice. Et pourtant j’ai détruit tous mes textes un par un. Je le regrette d’ailleurs amèrement aujourd’hui. J’ai tout méticuleusement détruit pour ne pas me faire d’illusions. Parce que “Ecrire n’est pas un métier”. On me l’a répété beaucoup – et puis je l’ai intégré. Jusqu’à il y a quelques semaines. 9- A l’école j’ai toujours été une bonne élève. Vous savez la binoclarde, un peu ronde et lèche bottes. Et ben c’était moi ! 10- Je suis extrêmement proche de mes grands mères. Peut être parce que ce sont elles qui m’ont donnée mes tous premiers biberons. Du genre à les appeler tous les jours ou presque. A leur envoyer des cartes postales en vacances ou à leur faire livrer des fleurs pour des petites occasions [ou pas forcément, d’ailleurs]. Si vous me suivez régulièrement sur les réseaux sociaux, vous avez du remarquer de nombreux changement dans ma notre vie ces derniers mois… Et en effet, il y en a eu, beaucoup ! Aujourd’hui j’avais envie de vous faire le point, en toute transparence, sur notre changement de mode de vie, nos nouvelles habitudes, mes nouvelles aspirations en tant que femme, professionnelle, maman, bref, un article un peu intime qui vous parle de notre cheminement de ces derniers mois. La localisation Nous avons déménagé. Je pense que cela a été un gros changement pour nous et un déclic par ailleurs pour pas mal de choses. Nous avons quitté un centre ville pour une vie à la semi campagne. Une vie à laquelle j’aspirais depuis des années. J’étais arrivée à une saturation totale de la ville, du bruit et surtout du stress au quotidien. Après 1 visite de maison, qui a été notre coup de cœur, nous nous sommes décidés. Avec beaucoup d’excitation et aussi un peu d’appréhension, puisque mine de rien, personnellement j’avais toujours vécu en ville ET en appartement. Même si ce changement me paraissait positif, je ne savais pas trop à quoi m’attendre finalement dans la réalité et de quoi allait être fait notre quotidien. Au final, je peux l’écrire maintenant je revis ! Le fait d’avoir un extérieur, un potager, la possibilité de longues marches ou courses dans la nature, de me reconnecter avec un air un peu plus pur et un quotidien beaucoup plus calme m’a fait énormément de bien et à notre puce aussi. Elle passe ses journées dehors, court, flâne, retourne la terre, sème, et moi j’aime la voir grandir et évoluer dans cet environnement. L’alimentation Cela fait un moment que je suis végétarienne, et, depuis quelques temps, nous remplaçons aussi régulièrement les œufs et le fromage. Nous faisons de temps en temps notre fromage végétal mon mari va me taper sur les doigts d’employer ce terme, il trouve que c’est très bon “mais qu’on ne peut pas appeler ça fromage” et diminuons notre consommation d’œufs. En tous cas, celle ci est beaucoup plus raisonnée et raisonnable qu’elle a pu l’être quelques mois / années en arrière. Je ne sais pas s’il s’agit d’une période de transition, ou si cela restera comme cela pendant des années, ou si nous reviendrons en arrière, ce que je sais c’est qu’aujourd’hui c’est comme cela que nous nous sentons bien. Nous avons entrepris un petit potager, pas du tout dans le but de vivre en autosuffisance, nous ne pouvons pas y consacrer du tout assez de temps, mais d’avoir la fierté de récolter quelques légumes, d’apprendre à Camille la terre, ses besoins, les légumes, le respect de tout ça. En fait j’ai l’impression d’avoir très envie de revenir à l’essentiel, au naturel finalement Concernant nos achats alimentaires nous optons aujourd’hui à 95% pour du local [ parfois, quelques bananes résistent encore à cette démarche, Camille en raffole ]. Cela nous permet d’avoir des fruits et légumes de qualité, cueillis presque à maturité, de réduire l’empreinte énergétique, de faire travailler les producteurs locaux, bref, cette démarche a beaucoup de positif. Le “moins” clairement le choix le moins de choix du coup. Il est évident que nous avons moins de choix qu’avant. Nous essayions déjà de manger de saison depuis des années, mais la “localité” du produit change encore la donne. L’avantage, c’est que cela nous pousse à être plus créatifs et à varier les recettes avec un nombre de produits plus restreints. A la question est ce que c’est frustrant ? Pas du tout à mon sens. On apprend à cuisiner différemment, à être curieux, à varier, je trouve ça super chouette ! Une chose à laquelle nous faisons beaucoup plus attention aujourd’hui Limiter nos déchets. C’est une démarche beaucoup plus récente pour nous, mais qui va vraiment dans le même sens. Nous essayons d’aller vers le moins de déchets je n’utilise volontairement pas le terme “zéro déchet” parce qu’il faut être honnête, nous en sommes encore loin. En termes d’alimentation, voici les pistes que nous avons mises en oeuvre Acheter en vrac les légumineuses, céréales, oléagineux … – pour cela se munir de filets ou de “sacs à vrac” en coton par exemple. C’est clairement un investissement de départ mais sur le moyen terme c’est vite rentabilisé. C’est pratique, dans la machine ensuite si besoin et le tour est joué. Acheter local donc Ne plus utiliser de café en dosettes Boire de l’eau du robinet Utiliser autant que possible les épluchures, fanes etc généralement j’en fais des soupes, des purées ou des garnitures pour des quiches ! Utiliser une gourde plutôt que des bouteilles à améliorer, j’ai clairement encore ce réflexe “bouteille”. Idem pour le réflexe “essuie tout” pour essuyer les nez qui coulent ou le réflexe ” papier film” il existe des possibilités de fabriquer soi même son “papier film” à base de cire d’abeille. Pour les articles que nous achetons en grande surface peu faire attention à la quantité d’emballage nous en achetons encore clairement TROP ! Recycler bon cela parait évident, mais il y a 5 ans en arrière je n’y accordais absolument aucune importance… [ Pour répondre à une question récurrente Notre budget course tourne autour de 70/80€ / semaine ] Le mode de consommation Le seconde main Quelque chose qui est “nouveau” moins d’un an c’est que nous consommons quasiment uniquement en seconde main. Que ce soit en termes de vêtements que de jouets pour enfant / bébé. Les sites ou applications ne manquent pas, sinon vous pouvez trouver votre bonheur dans les vide greniers / brocantes / vide dressing. Pour vous donner un exemple nous n’avons rien acheté de neuf pour le bébé à venir tout récupéré des petits cousins d’hiver ou acheté pour moins de 50€, combi pilotes * 2 comprises, idem pour Camille même les chaussures, nous avons trouvé des pépites, des Kickers neuves pour … 5€ / Idem pour sa doudoune que nous avons payé 2€ ! A la question “pourquoi” ? il y a plusieurs réponses La première qui est évidente pour moi Nous n’avons pas besoin de neuf en tous cas dans l’immense majorité des cas & il y a des articles de seconde main hyper quali. Bien sûr, il faut farfouiller un peu mais on peut trouver des pépites. C’est beaucoup plus économique vous n’imaginez pas à quel point … Cela évite au dit produit de devenir un “déchet” et donc d’avoir un impact sur l’environnement Paradoxalement c’est un gage de qualité ! Si vous trouvez des habits / chaussures / jouets qui ont déjà été largement utilisés et qui sont toujours en bon état .. C’est plutôt bon signe à mon sens. Une voiture Nous devons changer de voiture pour l’arrivée de Bébé 2, nous avons longtemps hésité à garder les deux voitures vie à la campagne oblige mais finalement nous avons opté pour n’en garder qu’une seule. Les autres trajets se feront à pied et/ou à vélo J’en profite pour passer ma petite annonce je suis en recherche active d’une”carriole” d’occasion pour mettre 2 loulous pour la course à pied et le vélo, si vous avez ça en stock, on sait jamais D Emballages cadeaux Je ne savais pas trop où mettre cette “résolution” que nous avons déjà depuis quelques années et qui va être encore plus d’actualité à cette période de l’année les “papiers cadeaux” que nous essayons de faire en tissu réutilisable. Cela s’achète ou vous pouvez simplement réutiliser des foulards… dont vous ne vous servez plus personnellement j’avais une multitude de foulards que je ne portais jamais. Comme nous sommes plusieurs dans notre entourage à avoir cette démarche, je “donne” du tissu, et j’en reçois en retour pas bête ! Les cadeaux justement ... Vaste sujet à cette période de l’année notamment. Depuis toujours je suis plus cadeaux ” à faire” offrir par exemple une dégustation de vin, un cours de cuisine, un massage que quelque chose de “concret” d’ailleurs ce sont aussi les cadeaux que je préfère !. Quand on a un enfant ou plusieurs la question de leurs cadeaux se pose aussi … Nous avons opté pour une “liste” de Noël avec 4 cadeaux en tout et pour tout. Des choses généralement qu’elle pourra garder sur plusieurs années ce n’est pas simple de réfléchir de cette façon pour un tout petit, mais on trouve !. Au quotidien, on essaye de faire beaucoup d’activités avec Camille mais de peu acheter sauf les livres, j’adore lui acheter des livres ... J’ai réalisé en étant avec elle au quotidien, en l’observant combien finalement on faisait “trop” on achetait “trop” et surtout combien les tous petits pouvaient finalement s’amuser et apprendre ! avec plein de choses du quotidien des bouchons, des pinces à linge, de la semoule…. Pour les activités créatives peinture, pâte à sel, pâte à modeler j’essaye aussi de faire maison c’est à la fois plus sain pour l’enfant, et beaucoup moins cher. En plus finalement l’activité “faire la pâte à modeler” est toute aussi intéressante / captivante pour l’enfant que de jouer à la pâte à modeler. Du coup je la fais participer, c’est le double voire plus du temps d’occupé 😉 Trier trier trier et donner J’ai fait un énorme tri dans nos armoires au moment du déménagement et nous avons donné quantités de livres / habits / jouets … [autant j’ai totalement le réflexe achat en seconde main, autant je n’ai pas du tout le réflexe vente, ne me demandez pas pourquoi ! ]. Honnêtement, cela permet d’y voir beaucoup plus clair, d’être plus zen au quotidien il n’y a rien qui me stresse plus personnellement que des armoires qui débordent et du bazar un peu partout… et on se rend finalement vite compte que rien ne nous manque… Hygiène / ménage C’est LA partie sur laquelle j’aimerais encore progresser ces prochains moins Cotons et lingettes réutilisables Pour la toilette de Camille et mini nous avons adopté les lingettes en tissu. Point noir Les voyages où nous utilisons des lingettes “classiques” bon, on ne voyage pas souvent Les cosmétiques C’est simple Je n’utilise rien mais vraiment rien, seulement de l’huile de coco pour le corps et les cheveux. Couches lavables Aujourd’hui 50% environ. Point noir l’autre 50% Nous essayons de faire notre lessive maison vous trouverez plein de “recettes” sur le net. C’est finalement très facile à faire, rapide oui oui et cela revient BEAUCOUP moins cher Savons et shampoing solides. Point noir Il nous reste encore beaucoup de gels douches / shampoings que je ne me vois pas jeter je déteste faire ça, du coup nous les utilisons au fur et à mesure Les douches Je plaide coupable j’adore les bains, et la grossesse n’arrange pas les choses, mais au quotidien, nous essayons d’en réduire vraiment le nombre, y compris pour choupette on la lave quand même hein D Autre point noir Le sèche linge qui tourne beaucoup trop en cette période automnale / hivernale … Globalement j’ai réalisé combien on peut faire quasiment tout avec seulement vinaigre blanc, savoir de Marseille, savon noir, bicarbonate de soude et eau. Alors, … Le bilan Au fur et à mesure que j’écrivais cet article j’ai réalisé combien nous avions progressé sur les 5 dernières années, et je trouve ça vraiment chouette. Nous faisons des progrès chaque jour et Oui nous sommes dans l’action, et ça je trouve ça génial ! En plus, le fait d’avoir un enfant nous “oblige” à être dans la transmission de ces gestes, d’expliquer etc, et je trouve ça super riche. On chemine Je ne cherche pas à être “parfaite” en termes d’alimentations, de “zéro déchet” etc, mais à “faire ma part” vous savez, l’histoire du colibri. Au fil des années j’ai réalisé combien oui on pouvait toujours faire plus, mais combien il était important, surtout, de faire, au quotidien, en fonction de ses aspirations, de ses convictions, de ses envies, de ses possibilités. De la même façon, nous ne sommes pas obligés de faire pareil que le voisin, la cousine ou tel ou tel influenceur, mais de cheminer à notre façon, à notre rythme, vers ce qui semble être juste, pour NOUS. encore une fois, il y a mille façons de faire, peu importe laquelle vous choisissez j’ai envie de dire, du moment qu’elle correspond à votre mode de vie, vos aspirations, vos envies Je ne cherche à convaincre personne, ni à vous dire que nous sommes des saints certainement pas !! mais à vous partager notre cheminement. Car en effet, il y a 5 ans en arrière, je prenais un bain tous les soirs, je jetais mes papiers de chewing gum par terre, je me nourrissais à base de gâteaux industriels sous emballage, de pâtes, de steaks hachés, j’avais dans ma salle de bain environ 18 gels douches et shampoings et au moins le triple en produits de maquillage, bref, vous voyez. L’objectif des prochains mois Travailler notre organisation avec 2 tous petits Lorsque tout va bien, tout roule, je trouve le temps de faire tout ça, lorsque la fatigue / le travail prend le dessus, ce sont les premières choses qui “passent à la trappe” [ notamment en ce qui concerne l’hygiène, parce que c’est clairement tellement facile / accessible de revenir en arrière ! Du coup objectifs pérennisation et ancrage de ces habitudes, avec un deuxième petit loulou et quelques défis en plus, du coup Avez vous des trucs et astuces ou expériences à me / nous partager sur le sujet ? J’ai hâte de vous lire ! Photo Pixabay Vivre en Afrique et gagner sa vie grâce à internet n’est plus un tabou comme la majorité des gens le pensent. Ce n’est pas aussi du tout facile de gagner de l’argent sur Internet lorsque nous sommes en Afrique. Il y a plusieurs contraintes qui nous bloquent ou empêchent de faire certains business. Parmi lesquelles je peux citer le moyen de paiement, la connexion internet, l’électricité, etc.… Mais tout cela, ce n’est que des détails. Le plus important à mon humble avis et ce qu’il faudra faire en premier, c’est d’avoir la bonne information. Et comment faire pour en avoir ? C’est très simple, se rapprocher des personnes qui ont déjà fait ce que vous voulez faire. Et c’est le problème de plusieurs personnes de mon continentafricain. Nous ne partons pas chercher l’information. Nous attendons que l’information puisse venir à nous. Dans cet article, je vais vous partager mon histoire, comment j’ai fait pour aller chercher la bonne information à 23$ et cela a changé ma vie. 1- Mon arrivée au Congo-Brazzaville2- La découverte du monde digital3- Mon entrée dans le monde professionnelConclusion 1- Mon arrivée au Congo-Brazzaville Il fut un 23 novembre 2014, date à laquelle j’ai quitté mon pays, le Congo-Brazzaville, pour les études universitaires au Cameroun que je considère aujourd’hui comme mon deuxième pays. D’ailleurs j’écris cet article ici. Bref, revenons à notre sujet. Je suis arrivé dans ce pays, grâce à une bourse d’étude que l’état Congolais m’avait octroyée et cette dernière me permettait d’avoir jusqu’à la licence et je voulais continuer, c’était maintenant aux parents de prendre la charge. J’ai pu obtenir en 2016, un BTS en maintenance des systèmes informatiques et une licence en 2017 en génie logiciel. Vu la situation difficile au Cameroun pour trouver un emploi, j’avais fait comme la majeure partie des gens le font sans avoir un plan B, c’est-à-dire rentrer dans mon pays en mars 2018 pour chercher le boulot et à cette période mon pays traversait déjà une crise économique et plusieurs entreprises fermaient les portes. C’est ce qui a fait que la situation n’avait pas été favorable à mon niveau. Après plusieurs recherches, je ne parvenais pas à trouver un emploi, jusqu’à ce qu’un ami me parle du marketing digital en 2019, oui, je l’avoue, c’est en 2019 que j’ai appris pour la première fois le terme marketing digital. C’était un mot nouveau pour moi, j’avais commencé à faire des recherches sur ça, jusqu’à ce que j’avais trouvé cela intéressant parce que c’était quelque chose qui tournait autour de ce que je passais plus de temps » Internet ». 2- La découverte du monde digital Après avoir entendu parler du web marketing et faire des recherches là-dessus, j’avais commencé à me former là-dessus. En quoi faisant ? En lisant les fichiers PDF téléchargés sur Internet et grâce à des vidéos YouTube que je partais télécharger dans un cyber qui était très loin de chez moi, car je vous avoue qu’en 2019, la connexion était encore un luxe chez moi, même aujourd’hui, mais cela change petit à petit. Donc ce que j’avais commencé à faire c’est consommer du contenu gratuit sur Internet et j’étais allé plus loin jusqu’à faire une certification Google en marketing. Pourquoi je faisais tout ça ? Parce que je voulais trouver une autre issue autre que l’emploi pour gagner ma vie. Je ne pouvais plus supporter d’être foiré, parfois manquer même 100FCFA et tout le temps déranger ma mère que j’aime et je respecte autant qui m’a supporté tout au long de mes études. Il fallait que je puisse maintenant prendre soin d’elle. J’avais compris que l’état ne pouvait rien faire pour moi, même si ce sont eux qui m’avaient envoyé ici. Parce qu’avant moi, il y a plusieurs générations qui n’étaient jamais intégrées. Et aussi continuer à chercher du boulot n’était pas la meilleure solution pour moi. Mais tout cela n’a été possible qu’après avoir travaillé sur mon développement personnel. Le développement personnel m’a largement aidé à m’en sortir. Avant, je ne croyais pas en moi, mais grâce à ce dernier, j’avais compris que c’était possible de m’en sortir. Après avoir acquis la connaissance, j’avais créé une page Facebook dans laquelle je publiais quelques informations sur le marketing digital jusqu’à ce que j’avais fait la connaissance du maestro, mon coach par excellence tychic Obanda dans un groupe Facebook. Il était disponible pour moi, il répondait à mes messages. Et j’avoue que le proverbe qui dit » il suffit d’une rencontre pour changer sa vie » est très vrai, car c’est ce qui s’est passé chez moi. C’est grâce à ce monsieur qui est même mon petit frère en âge que j’ai pu découvrir encore ce qu’on appelle le blogging. Et je trouve que c’était même une grâce pour moi, car c’est à ce moment-là qu’il lançait sa première session de coaching qui coûtait ce fameux 23$ qui a changé ma vie. Je n’avais pas 23$ pour la session de coaching, j’avais utilisé l’argent d’un ami qui était dans mon compte bancaire pour payer la session de coaching. Qu’est-ce qui m’avait motivé à payer une session de coaching au moment où j’avais les informations gratuitement sur Internet ? Il faisait la promotion de son coaching sur Facebook, il montrait ses résultats et je voulais aussi atteindre cela, et pour cela, il fallait chercher l’information auprès de la personne qui avait déjà fait ce que je désirais faire. 3- Mon entrée dans le monde professionnel Le paiement du coaching personnalisé, pourquoi je parle de personnaliser, car chaque participant à son programme avait ses objectifs à atteindre grâce au blogging, il m’avait rassuré que grâce au blogging, je pouvais avoir la visibilité sur Internet et aussi gagner de l’argent avec ça. J’avais payé la session de coaching en avril, mais il fallait aussi avoir de l’argent pour travailler sur le blog achat du nom de domaine, connexion internet, etc.…. Et je n’avais pas la possibilité à ce moment-là. Jusqu’à ce qu’il m’avait proposé un hébergeur plus moins cher du marché pour lancer mon blog et ne pas attendre. J’avais pu résoudre ce problème et l’autre problème était lié à Internet, lui étant en RDC et moi au Congo-Brazzaville pour travailler c’était uniquement avec Internet. Ce problème m’avait empêché de lancer mon blog rapidement, jusqu’à trouver une opportunité de me déplacer dans une autre ville pour travailler sur un projet et là où je travaillais, on avait une connexion Internet illimité et c’est avec cette connexion internet qu’on avait pu finaliser la mise en place de mon blog en juin 2019. J’étais maintenant rentré dans la blogosphère francophone. Après plusieurs mois 3 mois de publication des articles, c’est là que je fais la rencontre d’une autre personne que je considère comme mentor, Guy Berthold Teugue et c’est grâce à lui que ma vie a pris une autre direction. Ce qui l’avait attiré chez moi, c’est mon passage à l’action, je ne parlais pas seulement, comme la majorité des personnes le font. C’est ce dernier qui m’a permis d’entrer dans le monde professionnel, car avec lui on a commencé à travailler sur des projets réels et de grande envergure. Même si au départ financièrement ce n’était pas la joie parce que mon premier revenu sur Internet était de 50€. Mais cela ne m’avait pas découragé, bien au contraire. Cela m’avait plus motivé et j’ai cru que je pouvais faire plus. Conclusion Je viens de vous partager mon histoire de comment l’investissement de 23$ à un coaching a changé ma vie. Aujourd’hui, je gagne ma vie sur Internet et depuis que j’ai commencé, je travaille uniquement avec les entrepreneurs et entreprises hors du continent africain. Actuellement je travaille sur 5 projets 2 en France, 1 en Suisse, 1 Angleterre et 1 au Canada. Avant, si on m’avait dit que cela pouvait être possible, je ne pouvais pas croire, mais tout cela a été possible parce que j’ai dépensé de l’argent pour avoir la bonne information. Ce que je veux que vous puissiez retenir dans cet article, à un moment donné, il faudra arrêter avec le contenu gratuit et investir son argent dans une formation, coaching, peu importe tout ce qui vous permettra de passer à un niveau supérieur. Si aujourd’hui moi j’ai pu le faire, vous pouvez aussi réaliser cela, ce n’est pas de la magie. C’est juste la recherche de l’information et le passage à l’action. Dites-moi dans en commentaire ce que vous avez pensé de ce billet de blog. Et ce que vous avez voulu savoir que je n’ai pas pu mentionner dans l’article. Hâte de lire vos messages. Blogueur et consultant en SEO. Je partage avec vous les astuces et méthodes du business en ligne en Afrique que j’apprends dans mon quotidien afin de gagner votre vie sur internet. Aujourd'hui, Bruce Jenner a révélé qu'il avait souffert de troubles de l'identité sexuelle. Je n'aurais jamais mentionné ce problème avant qu'il soit suffisamment à l'aise pour en parler. C'est sa vérité, après tout. C'était donc à lui de choisir la façon et le moment de la révéler comme bon lui semblerait. J'ai scrupuleusement gardé son secret et je l'aurais emporté dans la tombe s'il n'en avait pas parlé. Mais aujourd'hui, après toutes ces années de vie hors du commun, il s'est exprimé. Son nom évoque probablement des mots comme "olympien", "médaillé d'or du décathlon", "le plus grand athlète du monde", "fils", "frère", "mari", "père", "grand-père", "ami" et, avec un peu de chance, "pionnier" et "précurseur des droits civils pour la communauté transgenre". Cette histoire transcende donc l'expérience personnelle de Bruce. Je souhaite parler de ce que j'ai vécu dans un souci d'information, afin d'apporter un minimum de réconfort et de soutien à toutes ces âmes en peine, privées de leurs droits d'une manière ou d'une autre. L'histoire de Bruce et son combat n'appartiennent qu'à lui. De même, mon expérience avec lui est unique. Voici le récit de notre histoire, et comment cette expérience a changé ma vie à jamais. * * * * * Un soir de juillet 1976, à Memphis, Elvis oui, oui, cet Elvis-là et moi étions en train de regarder les Jeux olympiques d'été qui se tenaient à Montréal. Cela faisait des jours que nous étions devant la télé, allongés dans le lit notre refuge préféré à Graceland. Nous suivions de près l'athlète américain Bruce Jenner, qui dominait l'épreuve du décathlon. Bruce en était au dernier tour de sa dernière course, la dixième, et quand il a franchi la ligne et gagné à la fois la médaille d'or olympique du décathlon et le titre de "plus grand athlète de la planète", Elvis et moi nous sommes réjouis de cette victoire pour les États-Unis ! Nous ne tarissions pas d'éloges sur ce type incroyable. "Il a vraiment une belle gueule, a déclaré Elvis. Je ne suis pas gay, mais je reconnais qu'il est beau gosse !" J'ai acquiescé et dit en le taquinant que cet athlète était beau comme un Dieu et que je me marierais avec lui un jour. "Pour ça, chérie, il faudra me passer sur le corps", a répliqué Elvis. J'ai rencontré Bruce Jenner trois ans plus tard, au printemps 1979, à l'occasion d'un tournoi de tennis organisé en faveur de la Clinique John Tracy pour les enfants sourds. Il avait lieu au Manoir Playboy. Je n'y étais encore jamais allée, mais Bruce y résidait occasionnellement depuis qu'il s'était séparé d'avec sa femme d'alors, Chrystie. Comme je participais régulièrement à l'émission de variété Hee Haw et que j'étais une actrice dont on commençait à parler je jouais notamment dans les séries d'Aaron Spelling, on m'avait invitée à remettre les trophées. Sans surprise, Bruce a remporté le tournoi et je lui ai remis son trophée. C'est ainsi que nous nous sommes rencontrés, sur un court de tennis. Bruce était vêtu d'un short et d'un tee-shirt trempé de sueur. Son corps musclé était toujours dans une forme olympique. Il était doux, timide et très courtois. Il m'a demandé si je venais souvent au Manoir Playboy et je lui ai répondu "Oh là là, non ! Je n'étais jamais venue !" Je me rappelle m'être dit que je ne voulais pas lui faire mauvaise impression, ou qu'il croie que mon ambition était de devenir playmate ! Lorsqu'il a commencé à me draguer gentiment, je lui ai carrément demandé "Euh, vous êtes marié, non ? Je vous ai vu aux Jeux olympiques et je me souviens que votre femme était très présente !" Son attitude a changé du tout au tout et il m'a répondu avec tristesse "Non, nous sommes séparés et ce n'est pas très facile." Il avait l'air si perdu que j'en ai été sincèrement émue. Je lui ai dit que j'étais désolée et nous avons passé un bon moment à discuter, sur le court. Tous ceux qui avaient participé à la manifestation en faveur de la clinique John Tracy devaient se retrouver pour dîner et Bruce avait prévu de rentrer chez lui pour se doucher et se changer. Pourtant, il restait là et, au bout d'un moment, il a fini par m'expliquer "Je n'ai vraiment pas envie de vous laisser seule ici, même peu de temps. George Peppard et les autres ne vous quittent pas des yeux et n'attendent que mon départ pour tenter leur chance." J'ai trouvé ça charmant et très galant. Bruce a gardé son short et son tee-shirt alors que les autres s'étaient habillés pour la soirée ! Nous avons continué à discuter et appris à nous connaître. Bruce m'a invitée à dîner et, bien sûr, j'ai accepté. C'est ainsi qu'a débuté une relation sentimentale qui a duré sept ans et donné naissance à deux merveilleux fils. Bruce avait déjà un fils adorable, Burt, et une magnifique petite fille nommée Cassandra je la surnommais Casey. Je les ai toujours considérés comme une bénédiction et un cadeau que la vie m'avait offert. Au début de notre relation, Bruce et moi nous sommes rendus en Australie pour la promotion de son film avec les Village People, Rien n'arrête la musique. Alan Carr en était le producteur et nous sommes vite devenus amis. Alan était un personnage haut en couleur, drôle, créatif et généreux. Dès notre retour, il a absolument voulu nous offrir une lune de miel anticipée quatre jours dans les paysages de rêve de l'île de Bora-Bora, à Tahiti. Bruce et moi avons passé des moments romantiques et reposants sur cette île féerique. Nous logions dans une de ces petites paillotes au toit de chaume, au bord de l'eau, et il nous suffisait de plonger de la terrasse dans une eau cristalline pour nager avec les poissons multicolores. Le soir, nous nous allongions à la belle étoile, en parlant de ce que l'on ferait ensemble et de ces paysages magiques. Le Bruce de cette époque était un homme décontracté, pragmatique, facile, romantique, et tendre. J'étais aux anges d'avoir trouvé quelqu'un d'aussi extraordinaire avec qui partager ma vie. Il avait des valeurs et je me surprenais parfois à penser que c'était trop beau pour être vrai. Si j'avais su ! Je me suis retrouvée enceinte pour la première fois de ma vie. Lorsque le cabinet médical m'a appelée pour me donner les résultats du test de grossesse, j'en suis tombée à genoux de joie en espérant être capable de porter cette précieuse vie. C'est un sentiment que je n'oublierai jamais. À cet instant, j'ai vraiment eu l'impression que mon être se trouvait purifié de tout ce que j'avais pu faire dans ma vie. On m'offrait un nouveau départ. Cette nouvelle me mettait clairement dans tous mes états ! * * * * * Bruce et moi nous sommes mariés le 5 janvier 1981, dans la splendide demeure d'Alan Carr, sur le front de mer hawaïen. Nous n'étions qu'une trentaine de personnes, dont nos parents. Burt était le témoin de son père, alors qu'il n'avait que deux ans ! Il a passé son temps à interrompre la cérémonie en nous demandant de le prendre dans nos bras. C'était très mignon et cela a donné une touche familiale à la cérémonie. Mes nièces, Jennifer et Amy Thompson, étaient mes demoiselles d'honneur et ma belle-sœur Louise, ma dame d'honneur. Le mariage a vraiment été magnifique. Nous avons échangé nos vœux à 18 heures, juste au moment où le soleil se couchait sur l'océan Pacifique. Je tiens à souligner que Bruce ne craignait pas les comparaisons, parce que la musique que j'avais choisie pour me rendre à l'autel était Hawaiian Wedding Song d'Elvis Presley ! J'avais toujours rêvé de me marier à Hawaï, depuis que j'avais vu Blue Hawaii avec Elvis. Petite fille, je l'avais regardé des dizaines de fois et je m'étais toujours dit que ça devait être romantique de se marier dans un endroit aussi paradisiaque. C'est tout à l'honneur de Bruce d'avoir accédé à mon désir de mariage de contes de fée, dans le soleil couchant au pied de Diamond Head, sur la plage de Waikiki, dans l'île d'Oahu, à Hawaï. Il ne manquait qu'Elvis ! Brandon Thompson Jenner est né le 4 juin 1981. Je croyais savoir ce qu'était l'amour avant de donner naissance à mon bébé, mais tout ce que j'avais connu jusque là n'était rien en comparaison de l'amour inconditionnel que j'ai immédiatement ressenti pour la petite chose que je tenais dans mes bras. Burt et Casey sont venus à l'hôpital pour faire la connaissance de leur petit frère. Je coulais des jours heureux. J'aimais sincèrement Burt et Casey, et Brandon illuminait chacune de mes journées ! J'avais l'impression d'être faite pour la maternité je m'étais déjà entraînée avec Burt et Casey, que nous avions souvent à la maison et qui étaient encore tout petits. Je me sentais donc prête à être mère. J'adorais passer du temps et profiter de cette famille toute prête. Bruce et moi formions un couple plutôt réussi à l'époque. Nous nous entendions extrêmement bien et partagions de nombreuses activités depuis qu'il m'avait enseigné les sports qu'il aimait pratiquer. Il m'a appris à faire du jet-ski, du ski nautique, du ski alpin, à jouer au tennis, à manger sainement, à faire de l'exercice et, surtout, à ne plus avoir peur de me mouiller les cheveux et d'ouvrir les yeux sous l'eau ! Bon, j'exagère peut-être un peu, mais il faut reconnaître que Bruce a révélé l'athlète qui sommeillait en moi. Je suis devenue assez bonne au tennis et nous avons même organisé pendant plusieurs années notre propre tournoi de stars au bénéfice des enfants victimes d'infirmité motrice cérébrale, le Bruce et Linda Jenner Love Match. Bruce et moi faisions régulièrement des apparitions sur les tapis rouges et nous étions perçus comme un "couple glamour". Nous consacrions également une partie de notre temps à des œuvres caritatives. Nous étions les présidents d'honneur de l'Association du diabète juvénile et soutenions régulièrement les Jeux olympiques spéciaux. * * * * * Un jour, nous avons reçu un appel de la Maison-Blanche nous demandant si nous étions disponibles pour rencontrer le président Ronald Reagan dans le bureau ovale en tant que représentants de l'Association de diabète juvénile. J'allaitais encore Brandon et nous étions attendus le surlendemain ! Comme nous ne voulions pas rater l'occasion de rencontrer le leader du monde libre, je me suis dépêchée de faire des réserves de lait maternel, de trouver quelque chose à me mettre et de sauter dans un avion pour à Washington. Nous étions de retour à Malibu quelques heures plus tard, mais rencontrer le président des États-Unis, c'est quelque chose qui reste ! J'étais très contente de retrouver mon petit Brandon et d'avoir un souvenir intéressant à lui raconter quand il serait plus grand. Bruce était d'un naturel athlétique, dans tout ce qu'il entreprenait. Il semblait exceller dans tous les sports. Quoi qu'il fasse, il était téméraire et incroyablement doué. Bruce était vraiment la perfection faite homme. Les hommes avaient envie de lui ressembler, de passer du temps et faire du sport avec lui. Quant aux femmes, il ne les laissait clairement pas indifférentes. Le Bruce d'alors était spontané, affable et bien dans sa peau. C'est en tout cas l'impression qu'il donnait. Un été, Bruce et moi avons été sollicités pour participer aux représentations de Lil' Abner à Birmingham, en Alabama. Nous nous sommes dit que ça pourrait être amusant, et nous avons accepté. Bruce avait une très bonne oreille, et il aimait danser. Nous avons donc pris part aux répétitions. Nous avons évidemment emmené Brandon et il s'est beaucoup amusé à parader sur scène avec nous dans son petit costume. Nous avons eu de bonnes critiques, mais je me suis rendue compte que le théâtre était nerveusement épuisant. J'avais déjà joué dans des pièces au lycée, mais là, c'était une comédie musicale intense et très exigeante. Bruce et moi passions notre temps à profiter de la plage, sur laquelle nous nous promenions en buvant notre café tous les matins, à faire du jet-ski et du catamaran, à jouer au tennis et à profiter l'un de l'autre. Je me disais qu'on avait une vie plutôt idyllique. * * * * * Juste après les un an de Brandon, nous nous sommes dit que ce serait bien qu'il ait un petit frère ou une petite sœur. J'ai bientôt été enchantée d'être enceinte de mon second fils, Sam Brody Jenner, en hommage à mon frère. Brody est né le 21 août 1983. Ce furent les années les plus heureuses de ma vie. J'avais un mari merveilleux, l'homme le plus athlétique, fougueux, dynamique, facile et viril que l'on puisse imaginer. J'étais la maman de deux ravissants petits garçons en pleine forme. J'avais deux beaux-enfants merveilleux. La vie n'aurait pas pu être plus belle. Nous avions emménagé dans une ravissante propriété d'un demi-hectare. J'y ai planté des roses, des arbres fruitiers, des fleurs et m'y suis fait mes plus beaux souvenirs. Bruce voyageait beaucoup. Il donnait des conférences, travaillait pour NBC SportsWorld, faisait de la course automobile. Il était toujours partant pour de nouvelles activités. Je l'accompagnai souvent, toujours avec nos fils, et parfois je restais à la maison avec les garçons. Quand Brody avait environ dix-huit mois et Brandon, trois ans et demi, Bruce est venu me voir, l'air sombre, et il m'a dit "Il y a quelque chose dont il faut vraiment que je te parle, quelque chose sur moi que tu dois savoir." J'ai cru qu'il allait me dire qu'il avait eu une aventure. Mais ce n'était pas ce qu'il souhaitait m'avouer. Bruce m'a annoncé qu'il s'identifiait en tant que femme. Je n'ai pas compris ce qu'il voulait dire. Il m'a répondu que quand il se regardait dans le miroir, il était toujours surpris de voir un corps d'homme. "J'ai passé ma vie dans le mauvais corps. Je vis un enfer et je crois que j'aimerais vraiment franchir le pas et devenir une femme, la femme que j'ai toujours été à l'intérieur." Les gens m'ont souvent demandé "Y a-t-il eu des signes, des indices toutes ces années qui auraient pu vous mettre la puce à l'oreille ?" Non. Pas un seul. Rien. Jamais. Je dois préciser qu'il y a trente ans, nous étions très peu informés sur les troubles de l'identité sexuelle. En tout cas, je n'en avais pas entendu parler. Je vivais un bonheur conjugal et maternel dans mon petit cocon de Malibu, avec mon champion du monde de mari, cet homme musclé, athlétique, ravissant. Je me suis soudain retrouvée désemparée, voire désespérée. J'ai suggéré une thérapie. J'avais besoin de comprendre de quoi il souffrait réellement, puis de déterminer si c'était quelque chose que nous allions pouvoir surmonter, voire "soigner". J'étais naïve. Comme je l'ai dit, j'ignorais complètement que le transgenre n'est pas quelque chose que l'on peut surmonter, réparer, exorciser ou désintégrer à l'aide de quelque concept ésotérique. Comme l'homosexualité, ou le fait d'être grand, petit, blanc, noir, masculin, féminin, être transgenre fait partie de la condition humaine. Chacun de nous est unique et nous n'avons aucune emprise sur ce qui nous détermine. Nous sommes qui nous sommes au plus profond de notre esprit, de notre cœur, de notre identité. Il me fallait intégrer cette leçon de vie et l'appliquer à mes propres attentes, pour mon avenir et celui de ma famille. J'ai trouvé une thérapeute spécialisée, Gertrude Hill, que nous sommes aussitôt allés consulter. C'était une femme adorable qui, très calmement et aussi doucement que possible, m'a informée et brisé le cœur en un million de morceaux. Elle m'a dit, lors de l'une de nos premières séances "Linda, Bruce est ce qu'il est. Son identité est celle d'une femme et cela ne changera jamais. Vous devez faire un choix. Si Bruce va au bout de son changement de sexe comme il a l'intention de le faire, vous pouvez rester avec lui, ou bien divorcer et refaire votre vie." Elle nous a indiqué que 25% des transgenres se suicidaient parce qu'ils étaient extrêmement déprimés et désespérés. À cette époque, Bruce a envisagé de se rendre à l'étranger, peut-être au Danemark, pour y subir une opération de changement de sexe, et de rentrer aux États-Unis en tant que femme. Je lui ai demandé ce qu'on allait dire aux enfants. Il pensait qu'il pourrait peut-être revenir dans leur vie sous le nom de "Tante Heather". J'étais dévastée mais je souffrais aussi à l'idée de ce que Bruce avait dû subir tout au long de sa vie. Il est impossible, quand on se sent bien dans sa peau, d'imaginer l'emprisonnement que l'on doit ressentir d'être né dans le mauvais corps. Je sais que c'est difficile à comprendre, à se rentrer dans le crâne. J'ai eu énormément de mal à accepter que l'homme que j'avais épousé - le beau gosse très viril, merveilleux, idéal - n'existait plus et à adapter ma vie en conséquence. Il était toujours vivant, mais j'avais vraiment l'impression de porter le deuil de la personne que j'avais appris à connaître et à aimer. J'ai quitté Bruce au bout de six mois de thérapie, après m'être assurée qu'il n'y avait aucun espoir de préserver notre vie de famille. Être mariée à une femme ne faisait pas partie de mon projet de vie. J'avais tant de chagrin que je prenais le volant à toute heure du jour et de la nuit pour parcourir la Pacific Coast Highway en pleurant. Je pleurais la mort de mon mariage, de mon homme et de la vie de famille que j'avais pensé vivre jusqu'à la fin de mes jours. Mais j'éprouvais aussi beaucoup de compassion et de tristesse pour la souffrance quotidienne de Bruce. Même si sa confession avait fait l'effet d'un tremblement de terre, son combat n'avait aucune commune mesure avec le mien. Je devais à présent "être un homme" pour le soutenir dans ses décisions, prendre soin de mes fils, et continuer ma vie. Bruce est allé voir un Dr O'Dea, qui lui a prescrit des hormones féminines. Il y a trente ans, la seule technique d'épilation définitive, c'était l'électrolyse. À ma connaissance, l'épilation laser n'existait pas. Le pauvre Bruce y a eu recours pour son visage très barbu, et pour sa poitrine. Chaque poil était parcouru d'un courant électrique atrocement douloureux. Je n'ose y penser. Bruce a commencé à avoir des seins à cause des hormones qu'on lui injectait. Ma vie, mon psychisme, ma féminité, ma sexualité s'en sont trouvés bouleversés. Je paniquais en pensant à ce j'allais bien pouvoir dire à mes enfants sur leur père olympien, et à la façon dont j'allais les élever seule. J'étais ensuite traversée de crises de chagrin, pour moi et mes enfants mais aussi pour Bruce. Je suis sans doute la seule femme dans l'État de Californie à avoir renoncé à une pension alimentaire. Mais quand Bruce et moi avons divorcé, c'est ce que j'ai fait. J'avais beau être triste et désemparée, Bruce l'était bien autant que moi. Le Dr Hill m'avait dit qu'un transgenre sur quatre se suicidait et je ne voulais pas que cela se produise. Bruce savait qu'il pouvait venir voir ses fils quand bon lui semblait. Brandon et Brody allaient chez lui de temps en temps mais ils n'y ont jamais passé la nuit. Un jour, après avoir passé un moment chez Bruce, mes garçons sont venus me voir dans la cuisine et ils m'ont dit "Maman, on a vu papa sortir de la douche et il a des seins !" Ce jour-là, j'ai commencé à trouver des excuses pour protéger Bruce, et tenter d'expliquer ce qui arrivait à son visage. "Vous savez, les garçons, que votre père s'est entraîné très dur pour les Jeux olympiques et qu'il a développé des muscles importants, dont certains sont les pectoraux. Quand on arrête de s'entraîner et de soulever des poids, les muscles peuvent se transforment en graisse. C'est ce qui a dû se produire." J'essayais de préserver Brandon et Brody, tout en protégeant Bruce. C'était épuisant. Je me suis mise à fréquenter David Foster, que j'ai épousé quelques années plus tard. Bruce sortait avec plusieurs femmes, même si sa transformation commençait à se voir. Il n'avait plus de poils sur le visage ni sur la poitrine, il avait des seins, s'était fait refaire le nez et enlever la pomme d'Adam. Mais il ne semblait pas encore tout à fait certain d'être prêt à s'assumer entièrement. Si Bruce m'avait parlé de ses problèmes d'identité sexuelle au moment où nous avions entamé notre relation, je ne l'aurais pas épousé. C'est aussi simple que ça. Mais rétrospectivement, je remercie Dieu, l'univers et Bruce de ne l'avoir appris que plus tard, et qu'il ait tenu ce rôle dans ma vie. Si Bruce s'était confié à moi en 1979, ça aurait été une véritable tragédie. Je n'aurais jamais eu la joie, l'honneur et le privilège d'être la mère des deux plus beaux cadeaux qu'il m'ait été donné d'avoir, Brandon et Brody. Aussi imprévisible soit-elle, j'ai appris à faire confiance à la vie. Je me sentais tenue de ne rien dire des troubles de l'identité sexuelle de Bruce. C'était à lui d'en parler, ou pas. Je n'en ai donc pas parlé à mes fils avant qu'ils aient respectivement 31 et 29 ans. Je voulais que Brandon et Brody aient engrangé suffisamment de connaissance, de confiance et de compassion pour être capables d'assimiler la véritable identité de leur père. Nous ne sommes pas définis par nos parents, mais c'est quelque chose qu'on n'apprend que sur le tard. J'ai essayé d'inculquer à mes enfants des valeurs d'ouverture d'esprit, de pardon, de gentillesse, de tolérance et de compassion. Ils en ont été imprégnés et se montrent remarquablement tolérants et compréhensifs à l'égard de Bruce et d'autrui. * * * * * Pour être tout à fait honnête, je dois avouer qu'après le mariage de Bruce et Kris, il s'est écoulé des périodes de plusieurs années sans qu'il tente de rendre visite ou de contacter ses enfants. Pas de cartes d'anniversaire ni de coups de fil, pas de "Joyeux Noël" ni de "Tout va bien?" après le tremblement de terre de Northridge. Brandon et Brody n'auront jamais ces souvenirs typiques d'une relation père-fils. Ils ont été attristés de ce manque d'implication dans leur vie et j'en ai eu mal au cœur pour eux. Quand Brandon m'a demandé "Maman, comment est-ce que mon père peut rater ma remise de diplôme ?", je lui ai répondu "Mon chéri, ton père a peut-être été le plus grand athlète du monde, mais au niveau émotionnel, il faut que tu te le représentes en fauteuil roulant. S'il avait des jambes émotionnelles, il se lèverait et marcherait jusqu'à toi, mais ce n'est pas le cas pour le moment. Essaie simplement de le comprendre, de l'aimer et de lui pardonner." C'est une analogie qui a semblé amortir le coup à l'époque et je pense vraiment que le pardon est un don pas pour la personne à qui l'on choisit de pardonner, mais pour soi-même. Quand nous choisissons d'éprouver du ressentiment et de la rancune envers autrui, nous nous faisons du mal. Je crois sincèrement que tout est pardonnable, à défaut d'être excusable. Quand Brandon et Brody étaient plus grands, je leur ai révélé le problème de leur père. Je crois que le fait de savoir les a aidés à rassembler les pièces du puzzle et à comprendre certains de ses dysfonctionnements parentaux. Le moins que l'on puisse dire, c'est que j'ai moi aussi beaucoup rationalisé ! * * * * * Après avoir gardé le secret, et sachant que je l'ai protégé au cours de toutes ces années, je peux aujourd'hui respirer un peu plus librement, maintenant qu'il a trouvé la force et le courage de réaliser son rêve. Il peut enfin concrétiser son besoin d'être celle qu'il est vraiment. Cela demande un courage phénoménal et je ne peux que lui rendre hommage. Bruce a souffert le martyre et enduré des souffrances insondables, prisonnier qu'il était de sa propre chair. Il ne nous appartient certainement pas de juger tous ceux qui peuvent se sentir pris au piège, rejetés ou isolés. J'espère et je souhaite que l'humanité ait suffisamment évolué et soit prête à se montrer bienveillante à l'égard de ceux qui ont lutté ou que l'on perçoit comme "différents". Notre individualité et nos expériences de vie font de nous des êtres fascinants. J'aimerais que l'on soit prêt à l'accepter et que l'on se mette tous au défi de puiser au plus profond des ressources de notre cœur pour cultiver une atmosphère de compréhension, d'acceptation, de tolérance et de compassion. Nous sommes tous vulnérables. Comme Henry James l'écrivait si sagement, les trois choses les plus importantes dans la vie, c'est Ce blog, publié à l'origine sur Le Huffington Post Etats-Unis, a été traduit par Catherine Biros pour Fast for Word. Je n’ai jamais été quelqu’un de complètement inactif. J’ai toujours su prendre part à des activités sportives au secondaire et encore un peu après ma graduation. Par contre, le temps fait des siennes. On commence un programme exigeant et on a soudainement “plus le temps” pour le sport. Quand on arrête, l’idée de recommencer devient comme une montagne. On s’inscrit à un cours, difficile de continuer après la première session par manque de motivation. L’été arrive, on s’inscrit au gym. On y va pendant 1-2 mois, mais le temps et la motivation manquent. Ces dernières phrases sont un bon descriptif de ce à quoi ma relation avec l’exercise avait l’air post-secondaire. Après quelques années et quelques mois où le mental n’était vraiment, mais vraiment pas là, j’ai décidé que j’avais besoin de me remettre au sport, si ce n’était que pour retrouver un semblant de routine. Une routine à l’ère où je prenais encore du temps pour moi, du “me-time”, qui ne consistait pas à faire dérouler mon fil d’actualités Instagram, ou encore, à regarder des millions de séries en rafale sur Netflix. Il faut aussi dire que les beaucoup de kilos que j’avais accumulés au cours des 3-4 dernières années m’ont également motivée. J’ai donc pris mon courage à deux mains et me suis inscrite dans un gym de boxe où une de mes bonnes amies s’entraînait déjà, en novembre 2017. Je prévoyais faire quelques cours d’entraînement de boxe par semaine 2-3. C’est ce que j’ai fait pendant la première partie de 2018 et j’aimais bien. En m’entraînant au Empire, j’ai aussi découvert les cours de circuit et ça, j’ai vraiment trippé. Je me souviens le premier cours, j’ai failli mourir. Je manquais de souffle et je pensais être courbaturée jusqu’au restant de mes jours, sans blague. Par contre, je m’étais donnée à fond et m’étais dépassée. J’avais adoré ce sentiment et le recherche maintenant dans la majorité de mes entraînements. Raid Banque Nationale au profit de l’HDL avec des gens cool 🙂 En avril 2018, à Pâques précisément, je me suis acheté un vélo dans le but d’aller travailler sur deux roues. Je travaille dans une entreprise de ce domaine et cela à probablement influencé mon choix! À partir de mai, j’ai donc commencé à venir à vélo plusieurs fois par semaine environ 25km aller-retour en plus de m’entraîner au gym 3-4-5 fois par semaine. J’ai tout de suite senti une différence majeure sur mon mental. Une mauvaise journée au bureau pouvait se finir merveilleusement sur le traversier Québec-Lévis au gros soleil. J’avais trouvé une nouvelle passion grandissante pour l’entraînement et une encore plus pour pédaler et me dépasser en vélo. En vélo, il me semble tellement plus facile de trouver ce qui est beau autour de moi. Le soleil qui réchauffe ma peau, la douce brise du fleuve, la vue impressionnante des pistes cyclables qui longent ce dit fleuve. Pour vrai, même les rides pluvieuses peuvent être agréables. Avril 2019 – That time I almost froze to death Monts Chics-Chocs 2019 J’ai donc décidé de m’inscrire à des événements cyclistes pour me donner un nouveau défi. En un an, j’ai fait deux courses/rides de gravel et je compte en faire beaucoup beaucoup plus dans les mois/années à venir. Empire All Day Everyday ! Il y a deux ans, si quelqu’un m’avait dit que je serais inscrite pour un demi-marathon en octobre, ou encore, que je serais capable de faire plus de 50 burpees de suite, j’aurais ri! Mais notre corps est capable de faire des choses impressionnantes. Je suis quelqu’un qui a beaucoup de difficulté à être fière de moi. Je vois que je suis partie de loin, mais je sais que je suis capable d’accomplir tellement plus ce qui me pousse à vouloir toujours plus. Par contre, même en ayant cette volonté de constamment m’améliorer afin de devenir meilleure, je pense qu’il y a quand même quelque chose de bien dans ce que j’ai accomplis au cours de la dernière année et demi ce qui n’est pas négligeable!! Avant de vous laisser, sachez que, oui, c’est difficile de prendre la décision de se remettre en forme, mais cette décision c’est celle de se choisir, de prendre du temps pour soi et d’en faire bénéficier les autres avec tous les bienfaits que le sport peut apporter dans une vie. Je suis j’espère, une meilleure personne qu’il y a un an et je vais continuer à travailler pour devenir le meilleur de moi-même 🙂

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